L’actualité scientifique de l’Institut Mines-Télécom.

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Sûrs et robustes, les radars sont utilisés pour faire de la détection mais aussi de la surveillance. Ils délivrent en revanche des signaux, et non des images, dont l’interprétation peut s’avérer complexe. L’utilisation d’intelligence artificielle pour compléter les algorithmes actuels se présente comme une solution technologique à ce problème. Le laboratoire RadaR-IO, commun à IMT Mines Albi et à l’entreprise EPSI, cherche à développer et à industrialiser cette solution.

À l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, les méthodes de sécurité misent sur l’intelligence artificielle, plus particulièrement la vidéosurveillance algorithmique. Cette technologie pose cependant quelques difficultés, notamment au niveau de la protection des données personnelles. Claudine Guerrier, chercheuse en droit à Institut Mines-Télécom Business School, nous en dit plus sur la vidéosurveillance artificielle.

Stéphane Avril est mécanicien, mais ses recherches portent sur l’élasticité des artères, leur résistance, et comment ces dernières changent avec les maladies ou la vieillesse. Passionné de biologie, ce chercheur de Mines Saint-Étienne est pour la troisième fois récipiendaire d’une prestigieuse bourse European Research Council (ERC). Ce financement vient soutenir son prochain projet à l’objectif ambitieux : repousser les effets du vieillissement des artères en contrôlant l’usure mécanique. Une nouvelle étape dans un parcours à la frontière de deux disciplines.