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Des bâtiments connectés et conscients, centrés sur l’humain, telle est l’ambition du projet SUST(AI)N. Des capteurs omniprésents et invisibles, basés sur les signaux radiofréquences, constituent l’un des piliers technologiques de ce dispositif. Depuis plus d’un an, une équipe de Télécom SudParis est mobilisée sur ce développement.
Après un cavalier législatif manqué au printemps 2023, le gouvernement soumet au parlement un projet de loi visant à réformer la gouvernance de la sûreté nucléaire et de la radioprotection. Le texte retravaillé doit être examiné par le Sénat en séance publique ce 7 février 2024. Dans cette tribune, Mathias Roger (IMT Atlantique), et Michaël Mangeon (Université Paris Nanterre), décryptent la spécificité du modèle français en matière de sûreté nucléaire, et analysen les changements proposés par ce nouveau projet de loi.
Le projet COCPIT vise à développer une solution de biocarburants avancés et durables dans les secteurs aériens et maritimes à partir de microalgues. Sary Awad, Professeur au département Système énergétique et environnement d’IMT Atlantique, coordonne le projet. Il travaille sur les procédés de production de biocarburants et leur caractérisation. Il nous délivre les détails du projet avec Julien Prud’homme, en charge des projets européens pour IMT Atlantique à la direction de la recherche et de l’innovation.
Le solaire à concentration consiste à concentrer les rayons du soleil pour produire de la chaleur et de l’électricité. Il se distingue de la production solaire photovoltaïque et représente donc un nouveau mode de production d’énergie. Ugo Pelay, enseignant-chercheur à IMT Nord Europe, nous explique le principe de ce système.
Chercheur en génie chimique à IMT Mines Alès, Éric Guibal travaille sur l’utilisation de biomasse et biopolymères pour la récupération des métaux. Sa contribution scientifique, marquée par de nombreuses publications, est reconnue en France et à l’international. Il a également dédié une partie de sa carrière à l’élaboration d’un réseau de collaboration scientifique international, en Amérique latine et en Égypte.
Face aux difficultés engendrées par les démissions silencieuses et le manque d’identification aux organisations, des plateformes d’employee advocacy numérique sont déployées au sein des entreprises. L’employee advocacy numérique ou le plaidoyer numérique des employés est un concept qui fait des employés des ambassadeurs de leur entreprise. Anuragini Shirish et Anaya Kumar, chercheuses à Institut Mines-Télécom Business School, se sont penchées sur ce qui déclenche ce comportement.
Les outils numériques constituent un puissant levier pour améliorer la visibilité ou l’impact d’une communication. Les associations et structures de l’économie sociale et solidaire (ESS) ont tout intérêt à exploiter cet effet de levier, à condition de bien en comprendre les mécanismes. Cédric Gossart, chercheur à Institut Mines-Télécom Business School, étudie les pratiques numériques des associations ESS pour mieux les guider dans leur stratégie.
La pandémie de Covid-19 a été accompagnée d’une vague de contestations sur les décisions en termes de politique publique prises pendant cette crise. La communauté scientifique n’a pas échappé à ce mouvement de critiques, notamment en raison de son manque d’anticipation sur les évènements. Pierre-Antoine Chardel, chercheur en sciences sociales et éthique au département Langues & sciences humaines de l’Institut Mines-Télécom Business School, s’est penché sur la question des paradoxes liés à l’anticipation d’une telle crise.
Du 18 octobre au 16 décembre, La Rotonde accueille l’exposition Croc’Expo à la Soucoupe, son site historique à Saint-Étienne. Destinée aux enfants de 3 à 6 ans, elle porte sur les aliments et donne envie de les découvrir à travers un parcours scénographié. Alexandre Saffre, responsable du site et médiateur scientifique au centre de culture scientifique, technique et industrielle (CCSTI) La Rotonde de Mines Saint-Étienne, nous accompagne dans le royaume des fruits et légumes.
L’Observatoire du new normal au travail, porté par une chercheuse d’Institut Mines-Télécom Business School, sort son troisième livre blanc. L’étude souligne cette année l’effritement du collectif en entreprise. Un détachement alimenté notamment par l’utilisation des outils numériques au détriment de l’oral, et par un déploiement inégal du télétravail.
