Deep Turtle, en haut des charts organisationnels

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Issu de la collaboration entre IMT Mines Albi et Dassault Systèmes, le laboratoire commun Deep Turtle propose une gestion simplifiée et fluide des processus organisationnels. Il s’appuie pour cela sur des plateformes collaboratives et des IA spécialisées. Ces outils permettent d’accompagner les collaborateurs dans leurs questionnements et dans l’exécution de processus complexes en temps réel, apportant aux entreprises une agilité nouvelle.

Deezer rentable pour la première fois : quel est son modèle économique ?

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Longtemps, Deezer, la plateforme française de streaming musical, a cherché son modèle économique. Elle pourrait l’avoir trouvé. Retour sur vingt ans d’histoire musicale. Où il se confirme que, pour espérer réussir dans le numérique, il faut savoir se remettre en question régulièrement.

L’énergie dans tous ses états à La Rotonde

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Depuis le 12 février, le centre de culture scientifique de l’École des Mines Saint-Étienne, La Rotonde, accueille « Gigowatt », une exposition interactive consacrée à l’énergie sous toutes ses formes. Elle aborde les enjeux de la transition énergétique à travers quatre pôles thématiques, associant contenus scientifiques et dispositifs participatifs à destination d’un large public. En écho, le dispositif met à l’honneur son ancrage local stéphanois, avec l’exposition « Énergies d’ici », conçue par l’équipe de la Rotonde, et une scénographie écoresponsable. Précisions avec Kathleen Gillet, médiatrice scientifique de l’exposition.
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Quèsaco les limites planétaires ?

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Les limites planétaires définissent les seuils à ne pas dépasser pour préserver la stabilité du système Terre. Si plusieurs d’entre elles sont déjà dans une zone à hauts risques, sous l’effet des activités humaines, il est encore possible d’agir pour éviter des transformations irréversibles. Mais comment ces limites ont-elles été établies ? Font-elles consensus ? Et surtout, comment les traduire à une échelle locale pour inciter à l’action ? Natacha Gondran, professeure à Mines Saint-Étienne et au sein de l’UMR 5600 Environnement Ville Société, nous éclaire sur ce cadre scientifique et ses implications.

Comprendre le désordre informationnel pour préserver la démocratie

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Fake news, manipulations de contenus, mise en avant de certains discours par les algorithmes… Quels impacts ces phénomènes informationnels peuvent-ils avoir sur nos démocraties ? Porté par l’Université de Lille, le projet DemoCIS rassemble deux écoles de l’Institut Mines-Télécom, IMT Atlantique et Institut Mines-Télécom Business School, pour collaborer autour d’un de ses quatre défis structurants : « Agir contre la polarisation des sociétés et les désordres informationnels ». Bien que centré sur les sciences humaines et sociales, le projet fait également appel à des disciplines telles que les sciences des données pour analyser et modéliser la circulation de l’information, identifier ses dérives potentielles et concevoir des outils pour mieux l’anticiper.

Le numérique pour faire reculer la bureaucratie ? Les deux faces d’une même promesse

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La numérisation est parfois présentée comme une sorte de formule magique pour résoudre tous les problèmes. Pourtant, des réalités différentes se cachent derrière le même mot. La numérisation est aussi une question d’organisation.

Maria A. Zuluaga, cap sur les vaisseaux du cerveau

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Maria A. Zuluaga, enseignante-chercheuse à EURECOM, a toujours été guidée par un goût pour l’exploration. C’est ainsi que, née en Colombie dans une famille de médecins, elle a choisi la voie des mathématiques et de l’informatique, décidée à croiser ces disciplines avec la santé. Quelques années plus tard, elle a obtenu une bourse du Conseil Européen de la Recherche pour son projet Caravel. Son objectif : cartographier le réseau vasculaire du cerveau, un territoire encore peu exploré, pour mieux comprendre son vieillissement et anticiper les maladies neurologiques.

De la 5G vers la 6G : l’inexorable avancée des générations

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À travers une série d’articles, ce dossier I'MTech propose divers éclairages pour mieux cerner les défis techniques, mais aussi les questions d’optimisation et de sobriété, qui accompagnent la transition de la 5G vers la 6G. Entre explosion de l'IoT, émergence du métavers et impératif de sobriété énergétique, regard sur le futur des télécommunications.

Retour sur le Sommet de Paris : l’IA « pour les gens et la planète » n’est pas celle que l’on croit

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Le Sommet pour l’action sur l’intelligence articifielle qui s’est tenu à Paris début février 2025 se voulait optimiste. Il a abouti à une déclaration pour « une IA durable et inclusive, pour les gens et la planète ». Les discussions sur la durabilité ont principalement eu lieu au ministère de la transition écologique, où était présent un de nos chercheurs. Il faut distinguer différents types d’IA. L’IA générative, en particulier, n’est pas indispensable pour étudier la planète ; par contre, elle consomme beaucoup d’énergie et de ressources.

La 5G met les constellations en réseau

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L’espace comme solution pour connecter les territoires isolés est bientôt une réalité. Mais l’utilisation des satellites en orbite basse comme relais pour les télécommunications implique de repenser certaines fonctionnalités des solutions terrestres actuelles. En cause : leur mouvement permanent. Au travers du projet BPI 5G NTN mmWave, les scientifiques de Télécom Paris s’attaquent à ce défi technique, en développant d’une part, de nouveaux algorithmes ; d’autre part, des modèles de performance afin d’évaluer les limites du système et l’optimiser.