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Les agents des services clientèles sont parfois mal outillés pour répondre efficacement aux questions qui leur sont posées. La start-up CogNeed AI développe une solution technologique qui analyse les échanges téléphoniques et accompagne en temps réel les agents, en leur proposant des éléments de réponse. La jeune pousse sera présente au salon VivaTech 2024.
Jabu est une plateforme utilisant l’intelligence artificielle pour aider la restauration collective à mieux anticiper la préparation des repas, et ainsi limiter le gaspillage alimentaire. La start-up incubée à IMT Starter sera présente au salon VivaTech 2024.
Incubée à TechForward, la start-up AMK biotech allie l’expertise médicale aux technologies d’imagerie et de traitement de données. Le but : analyser les tissus biologiques, tel que des tumeurs, pour en caractériser la composition et accélérer le développement de nouveaux traitements. AMK biotech sera présente au salon VivaTech 2024.
Sûrs et robustes, les radars sont utilisés pour faire de la détection mais aussi de la surveillance. Ils délivrent en revanche des signaux, et non des images, dont l’interprétation peut s’avérer complexe. L’utilisation d’intelligence artificielle pour compléter les algorithmes actuels se présente comme une solution technologique à ce problème. Le laboratoire RadaR-IO, commun à IMT Mines Albi et à l’entreprise EPSI, cherche à développer et à industrialiser cette solution.
À l’approche des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, les méthodes de sécurité misent sur l’intelligence artificielle, plus particulièrement la vidéosurveillance algorithmique. Cette technologie pose cependant quelques difficultés, notamment au niveau de la protection des données personnelles. Claudine Guerrier, chercheuse en droit à Institut Mines-Télécom Business School, nous en dit plus sur la vidéosurveillance artificielle.
Le projet Di-Hydro s’appuie sur la numérisation de centrales hydroélectriques, pour les exploiter de manière plus durable et mieux en anticiper la maintenance. Télécom SudParis est impliquée dans le développement d’une plateforme fédérée conçue pour faciliter l’échange sécurisé de données et la prise de décision, à l’échelle individuelle de chaque centrale, et collective.
Des bâtiments connectés et conscients, centrés sur l’humain, telle est l’ambition du projet SUST(AI)N. Des capteurs omniprésents et invisibles, basés sur les signaux radiofréquences, constituent l’un des piliers technologiques de ce dispositif. Depuis plus d’un an, une équipe de Télécom SudParis est mobilisée sur ce développement.
Les modèles de langage (LLM) révolutionnent la pertinence de compréhension et de réponses textuelles du langage naturel. Leur association avec des données structurées, qui offrent une organisation formelle des informations, permet d’en améliorer la précision. C’est dans ce contexte que Fabian Suchanek, chercheur à Télécom Paris, et son équipe continuent de faire évoluer la base de connaissances, YAGO.
Pour soutenir un domaine de recherche complexe comme la lutte contre le cancer, le Paris Saclay Cancer Cluster rassemble une palette d’offres scientifiques et techniques. Télécom Paris est investi dans cette initiative ambitieuse qui renforce le lien entre les acteurs de l’innovation en oncologie et permet l’accès à une combinaison de plateformes technologiques, de bases de données, d’expertises ou encore de formations.
La pandémie de Covid-19 a été accompagnée d’une vague de contestations sur les décisions en termes de politique publique prises pendant cette crise. La communauté scientifique n’a pas échappé à ce mouvement de critiques, notamment en raison de son manque d’anticipation sur les évènements. Pierre-Antoine Chardel, chercheur en sciences sociales et éthique au département Langues & sciences humaines de l’Institut Mines-Télécom Business School, s’est penché sur la question des paradoxes liés à l’anticipation d’une telle crise.
