Promenons-nous dans le bois, ce matériau d’avenir

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Le bois démontre un potentiel surprenant et étendu, bien au-delà de la construction. Cinq chercheurs et chercheuse d’IMT Mines Alès partagent leurs travaux sur le bois et ses multiples facettes, ainsi que les questionnements que son utilisation soulève en matière de performance et de durabilité.

Comment faire face à la crise de l’énergie de l’IA ?

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L’intelligence artificielle se développe plus rapidement que les énergies renouvelables. Alors, tandis que l’on demande aux particuliers de baisser le chauffage, les GAFAM relancent le nucléaire. L’Agence internationale de l’énergie convoque un congrès mondial sur l’intelligence artificielle et l’énergie les 4 et 5 décembre 2024.

Anne Bergeret, le fil conducteur de verre

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Anne Bergeret est chercheuse au Centre des Matériaux des Mines d’Alès (C2MA) et spécialisée dans le domaine des fibres de verre et des fibres naturelles d’origine végétale qui servent de renforts aux matériaux composites à matrice polymère. Elle s’intéresse particulièrement au développement de traitements de surface de ces fibres pour des performances optimales des matériaux composites, qu’il s’agisse de performances mécaniques, thermiques ou de propriétés d’aspect et de durabilité en service. Un parcours guidé par la recherche, l’industrie et la passion des fibres de renforcement.
Chaque année, 213 millions de tonnes de déchets sont produites par le secteur du BTP en France (chiffres Ademe).https://www.shutterstock.com/fr/image-photo/picture-fully-loaded-dumpster-construction-materials-2077214329

La chaire Cirval : pour un BTP plus économe en matériaux et en énergie 

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Face aux millions de tonnes de déchets produits chaque année par le BTP en France, la chaire industrielle Cirval se consacre à réduire l’impact du secteur. Réunissant la Fondation Mines-Télécom, IMT Nord Europe et une dizaine de PME, Cirval développe des solutions concrètes pour recycler, valoriser et économiser les ressources. En parallèle, elle travaille avec les institutions pour adapter les normes et faciliter l’économie circulaire dans le BTP.

Quand la France produisait de l’antimoine, élément stratégique méconnu

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Utilisé depuis l’Antiquité, l’antimoine est présent dans de nombreux objets de notre vie quotidienne. Alors que la Chine détient aujourd’hui le monopole de son extraction et s’apprête à limiter ses exportations, levons le voile sur un pan méconnu de l’histoire minière de la France : celle-ci fut, un temps, le premier producteur mondial d’antimoine.

Cinquante nuances d’eau propre

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La reconnaissance croissante de l'impact des rejets polluants sur les écosystèmes aquatiques fait émerger l’urgence d'une gestion plus rigoureuse des eaux traitées. À IMT Mines Alès, deux chercheurs développent des méthodes de caractérisation pour les milliers de micropolluants existants. Une tâche colossale qui constitue une première étape vers l’élaboration de systèmes de remédiation pour ces milieux dégradés.

Habiter avec l’eau en Cévennes : la croisée de la recherche et du dessin

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Doctorante à IMT Mines Alès, Fabienne Errero effectue ses recherches sur les interactions entre environnement et société au sein du bassin versant des Gardons, dans les Cévennes. Pour cette architecte de formation, c’est l’occasion de redessiner les contours de son métier en y intégrant le lien entre l’architecture et l’eau. Dans le cadre de sa thèse, Fabienne Errero a réalisé des pensées-dessins, lui permettant de poser des idées et de construire sa réflexion. Le texte et les illustrations de cet article sont issus de ce travail, et sont signés par la chercheuse.

Pluies torrentielles, la pollution d’un long fleuve tranquille

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Les épisodes de pluies intenses liés au changement climatique génèrent du ruissellement dynamique qui, par érosion, arrache des matières du sol, y compris des contaminants. À IMT Nord Europe, des équipes de recherche mènent des travaux complémentaires de mesure et de modélisation pour comprendre comment ces transferts de matières s’inscrivent dans le cycle de l’eau, et mieux gérer les territoires.

Lilaea : surveiller l’eau pour mieux la préserver

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La start-up Lilaea, présente au salon VivaTech 2024, s’est donné pour mission de contribuer à la préservation de l’eau douce. Une ambition qui se traduit par le déploiement de stations de surveillance en temps réel, le développement d’un sous-marin téléguidé et la sensibilisation du grand public.

Quand l’hydroélectrique passe au numérique

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Le projet Di-Hydro s’appuie sur la numérisation de centrales hydroélectriques, pour les exploiter de manière plus durable et mieux en anticiper la maintenance. Télécom SudParis est impliquée dans le développement d’une plateforme fédérée conçue pour faciliter l’échange sécurisé de données et la prise de décision, à l’échelle individuelle de chaque centrale, et collective.