La blockchain, une technologie qui permet aussi de protéger vos actifs immatériels
Nous republions ici la chronique de Patrick Duvaut, directeur de l’innovation de l’IMT, et d’Éric Seulliet, président fondateur de La Fabrique du futur, parue sur le site de HBR France. Pour eux, les actifs immatériels sont la matière première des échanges et du négoce du 21e siècle.
Avec la « digitalisation de tout », le 21e siècle marque l’avènement de la société de la virtualisation où les actifs immatériels constituent une source incommensurable de création de valeur et de base d’échanges entre individus, machines et organisations, plus généralement entre les trois mondes : physiques, biologiques et digitaux.
Dans une économie du résultat (outcome economy) et un monde de plus en plus concurrentiel, toute proposition de valeur doit émerger du lot. Et la clé de la différenciation est certainement la dimension immatérielle. Un produit « classique » n’existe plus pour son seul aspect fonctionnel. Tout produit devient une sorte de « container » à intelligence, par essence immatérielle (« touch and feel », expérience client, imaginaire, renvoi à un statut social…). L’immatériel devient la véritable source de valeur intrinsèque du produit susceptible de délivrer une expérience utilisateur mesurable par sa qualité et son impact. On pourrait aussi mentionner les business models, la communication, la capacité à capter l’attention par du storytelling…
Parallèlement, le champ des actifs immatériels ne cesse de s’élargir: données personnelles, savoirs, connaissances, tours de main, créations intellectuelles et artistiques… Toute chose immatérielle s’impose désormais comme un vecteur de valeur, mais aussi de lien social et de communication ubiquitaire à l’échelle planétaire.
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Lire la suite de cette tribune sur Harvard Business Review France.
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